| Titre : |
Baguettes chinoises |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Xinran ; Prune Cornet, Traducteur |
| Editeur : |
Philippe Picquier, 2008 |
| Description : |
341 p. |
| ISBN/ISSN : |
978-2-87730-991-2 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Résumé : |
« Les baguettes », tel est le délicat surnom dont on affuble les petites filles, dans la province de l’Anhui, en Chine rurale et profonde ; les femmes sont comme des baguettes : utilitaire et jetables. On l’oppose aux « poutres », les enfants mâles que tout homme marié doit engendrer pour ne pas voir sa lignée s’éteindre, et qui sont les poutres solides qui soutiennent le toit d'une maison. Le père de nos héroïnes n’a pas eu cette « chance », il n’a pu produire que des filles, qu’il s’est contenté de nommer par ordre d’apparition,Trois, Cinq, Six, et qu’il est bien décidé à marier de façon à arranger ses affaires. Fiancée au fils infirme d’un puissant local, Trois est la première à s’enfuir pour Nankin, la grande ville. Et lorsqu’elle revient dans son village, chargée de billets, son père la considère d’un autre œil… au point de laisser deux de ses sœurs la suivre. |
| Note de contenu : |
A la fois manifeste féministe discret et ode à l’esprit d’entreprise et au dynamisme des petites gens, ce livre a le grand mérite de donner chair à cette Chine moderne que nous ne connaissons qu’à travers ses buildings flamboyants, ses hiérarques impavides et sa croissance à deux chiffres. |
| Nature du document : |
fiction |
| Genre : |
roman |
| Thème de fiction : |
femme/quête d'identité |
Baguettes chinoises [texte imprimé] / Xinran ; Prune Cornet, Traducteur . - Philippe Picquier, 2008 . - 341 p. ISBN : 978-2-87730-991-2 Langues : Français ( fre)
| Résumé : |
« Les baguettes », tel est le délicat surnom dont on affuble les petites filles, dans la province de l’Anhui, en Chine rurale et profonde ; les femmes sont comme des baguettes : utilitaire et jetables. On l’oppose aux « poutres », les enfants mâles que tout homme marié doit engendrer pour ne pas voir sa lignée s’éteindre, et qui sont les poutres solides qui soutiennent le toit d'une maison. Le père de nos héroïnes n’a pas eu cette « chance », il n’a pu produire que des filles, qu’il s’est contenté de nommer par ordre d’apparition,Trois, Cinq, Six, et qu’il est bien décidé à marier de façon à arranger ses affaires. Fiancée au fils infirme d’un puissant local, Trois est la première à s’enfuir pour Nankin, la grande ville. Et lorsqu’elle revient dans son village, chargée de billets, son père la considère d’un autre œil… au point de laisser deux de ses sœurs la suivre. |
| Note de contenu : |
A la fois manifeste féministe discret et ode à l’esprit d’entreprise et au dynamisme des petites gens, ce livre a le grand mérite de donner chair à cette Chine moderne que nous ne connaissons qu’à travers ses buildings flamboyants, ses hiérarques impavides et sa croissance à deux chiffres. |
| Nature du document : |
fiction |
| Genre : |
roman |
| Thème de fiction : |
femme/quête d'identité |
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