Baudelaire, les fleurs du spleen / Henry Raczymov in Le Monde. Dossiers et documents littéraires, 8 (juillet 1995)

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLe Monde. Dossiers et documents littéraires > 8 (juillet 1995) Titre : Baudelaire, les fleurs du spleen Type de document : texte imprimé Auteurs : Henry Raczymov, Auteur ; Patrick Kéchichian, Auteur Année : 1995 Article : p. 1-4 : ill. Descripteurs : 19e siècle / courant littéraire / critique d'art / écrivain Mots-clés : Baudelaire, Charles : 1821-1867  dandysme Résumé : Ce dossier présente les femmes qui ont compté pour Baudelaire ainsi que les masques dont, consciemment ou non, Baudelaire a joué abondamment. Les femmes qui ont marqué l'écrivain sont sa mère dont il se sentira toujours dépendant, Mme Sabatier pour qui il créa des poèmes d'inspiration mystique et la sombre Jeanne Duval. Le poète emprunte les masques du dandy, du dépravé et du révolté, le mal et la révolte étant des éléments essentiels de l'art. La condamnation du poète pour outrage à la morale publique (1857) n'a été cassée qu'en 1949. Baudelaire n'est pas réaliste. Sa modernité réside dans l'irruption de l'allégorie dans le banal. L'écrivain s'est voulu aussi critique d'art car selon lui les meilleurs critiques sont les poètes, c'est-à-dire les gens du métier. Nature du document : documentaire [article] Baudelaire, les fleurs du spleen [texte imprimé] / Henry Raczymov, Auteur ; Patrick Kéchichian, Auteur . - 1995 . - p. 1-4 : ill. in Le Monde. Dossiers et documents littéraires > 8 (juillet 1995) Descripteurs : 19e siècle / courant littéraire / critique d'art / écrivain Mots-clés : Baudelaire, Charles : 1821-1867  dandysme Résumé : Ce dossier présente les femmes qui ont compté pour Baudelaire ainsi que les masques dont, consciemment ou non, Baudelaire a joué abondamment. Les femmes qui ont marqué l'écrivain sont sa mère dont il se sentira toujours dépendant, Mme Sabatier pour qui il créa des poèmes d'inspiration mystique et la sombre Jeanne Duval. Le poète emprunte les masques du dandy, du dépravé et du révolté, le mal et la révolte étant des éléments essentiels de l'art. La condamnation du poète pour outrage à la morale publique (1857) n'a été cassée qu'en 1949. Baudelaire n'est pas réaliste. Sa modernité réside dans l'irruption de l'allégorie dans le banal. L'écrivain s'est voulu aussi critique d'art car selon lui les meilleurs critiques sont les poètes, c'est-à-dire les gens du métier. Nature du document : documentaire